Chez arena, nous nous soucions de l'eau et la plus abondante des ressources naturelles fait partie intégrante de l'héritage et de l'ADN de la marque. À l’occasion de la Journée mondiale des océans en juin, arena est donc fière de soutenir Sea Shepherd dans ses missions de nettoyage et de protection des océans en lançant avec Strava le défi « Swim 4 the Seas » sur 10 jours, le premier du genre sur le réseau social mondial pour les athlètes.
Du 3 au 12 juin, arena met au défi les nageurs du monde entier de parcourir 4 km en 10 jours sur Strava. Pour chaque défi relevé, arena et Sea Shepherd s'engagent à retirer de nos océans l'équivalent de 200 sacs plastique à usage unique sous forme de filets, palangres et DCP (dispositifs de concentration de poissons) illégaux.
Le PDG d'arena Peter Graschi a déclaré : « Que ce soit à la piscine, dans un lac ou dans la mer, nous encourageons tout le monde à relever avec ses amis le défi « Swim 4 the Seas » sur Strava pour contribuer au nettoyage de nos océans, longueur après longueur. Nous souhaitons que 5 000 personnes dans le monde nagent leurs 4 km en dix jours afin de pouvoir retirer l'équivalent d'un million de sacs en plastique pour marquer cette Journée mondiale des océans. Nous nous soucions passionnément de notre planète, c'est pourquoi arena est fière de s'engager aux côtés de Sea Shepherd pour agir afin de protéger notre ressource la plus précieuse. Nagez vers des océans plus propres et aidez-nous à avoir un impact positif. Nageons pour ne pas laisser le plastique étouffer nos océans ! »
Pour obtenir plus d'informations sur ce défi de 10 jours, les nageurs peuvent s'inscrire ici : https://swim4theseas.arenasport.com/fr/
Et partager leurs progrès avec arena sur notre compte Instagram @arenaopenwater en utilisant le hashtag #Swim4TheSeas.
Pour les utilisateurs de Strava en Europe et aux États-Unis, un prix bonus sera décerné à la fin du défi.
L’unique mission de Sea Shepherd est de protéger et préserver les océans et la faune marine de la planète. Les DCP figurent parmi les engins de pêche les plus meurtriers des océans. Ces dispositifs flottants destinés à attirer les poissons sont souvent faits de plastique et d'autres matériaux non biodégradables, dont une longue ligne en propylène pour ancrer le DCP au fond marin. Les pêcheurs encerclent ensuite le DCP avec leurs filets qui capturent tout sur leur passage. Cela entraîne la capture involontaire – les prises accessoires – de poissons jeunes et d'autres espèces comme des tortues de mer et des mammifères marins menacés, qui peuvent s'emmêler, se blesser et se noyer dans la ligne en propylène. Pire encore, on estime que 60 % des DCP sont perdus ou abandonnés en mer, devenant des « engins fantômes » qui polluent l'océan. Également illégaux, les filets dérivants pélagiques sont un autre exemple d'engins fantômes. Il s’agit de véritables murs de la mort qui finissent souvent abandonnés en mer, piégeant et tuant sans distinction les animaux marins comme les tortues, les dauphins, les cachalots, les rorquals communs et les requins pendant des décennies s'ils ne sont pas retirés.